Rock à la Buse

Festival

Du 10 au 11 mars 2017 Palaxa //

Rock à la Buse //

Festival

Incontournable de notre programmation, voici la #11 du Rock à la Buse, un festival international qui fête cette année ses 10 ans d’existence !

Encore cette année, on ne fera pas l’impasse sur les concerts dessinés qui se succèdent sur la scène du Palaxa, avec les dessinateurs du Cri du Margouillat…of course.

Et le « Marg Bazar » sera toujours de la fête ! Prévoyez de vous ballader au coeur de cette grande braderie où le public pourra se précipiter sur les bandes dessinées, vinyles, et autres pépites, avec la possibilité d’obtenir quelques dédicaces des artistes.

Au programme de la scène :

The Wanton Bishops  : Groupe de rock dont les membres sont d’origine libanaise, The Wanton Bishops jongle avec talent entre l’arabe et l’anglais, entre le rock’n roll et la musique orientale ! Why not ? Le groupe est en total décalage avec les clichés que l’on prête par définition à sa culture traditionnelle, et sa culture musicale.
Après le Moyen-Orient, The Wanton Bishops part à la conquête de l’Europe et revient avec un nouvel EP. Si « l’enfer a été fait pour les curieux », vous pouvez venir, la clim’ est opérationnelle !

Cortina Whiplash : La carrière des trois femmes commence avec une sulfureuse réputation. L’album « Nooiensvart », né de leur ancien groupe Rokkeloos a marqué l’histoire en agissant comme l’élément déclencheur d’une prise de conscience dans la société. Le langage et les modes d’expression des femmes et de manière générale, des jeunes afrikaners ont évolué. On est suspendu aux lèvres du trio qui prépare « We do », l’album 2017 qui risque de faire fureur.

Tukatukas : une touche de 70s donne à leur musique un côté old-school rafraîchissant. Le groupe de punk rock réunionnais enchaîne les titres et ne vous laissera pas souffler. Ce qui lui vaut d’être diffusé sur les ondes au niveau international. Sérieusement, la Pologne, le Japon, le Brésil le Mexique et tout ! L’univers des Tukatukas n’a rien à envier aux autres groupes sur la place.

Kilkil  : Connu sur la scène locale, Kilkil est né en 2012 et compte aujourd’hui trois membres. Leur slogan se vend en quelques mots : « tropical synth free punk », autrement dit, une définition du punk propre au groupe. Un style intriguant, alternatif, avec « a super strong lady representing on bass ! » d’après Catherine Grenfell sur le festival Oppikoppi de 2014 en Afrique du Sud, où ils étaient en tournée. Leur « rock arrangé » (ou dérangé ?) a traversé les frontières plus d’une fois, avec un set toujours aussi impressionnant. Le trio enchaîne les notes comme les dates, mais ne vous attendra peut-être pas avec le dernier album en date « Speed ».

Frustration  : Encore un groupe qu’on ne présente plus. C’est l’histoire de cinq mecs, pas vraiment réputés pour être des dieux de la technique au début de leur carrière, qui se sont retrouvés investis d’une grâce étrange, entre l’éclosion du génie et l’alignement de planètes. Devenus avant-gardistes à la quarantaine commençante, ils ont montré le chemin comme si de rien n’était à toute une génération de groupes qui a pris conscience que oui, c’était possible, ici-même, dans l’Hexagone maudit. Succès critique, grosses ventes, public déchaîné.
« Frustration est un lion d’âge adulte qui n’a pas du tout l’intention de finir en descente de lit, et de subir les injures du pot de chambre ».

The Dizzy Brains  : Vous en avez forcément entendu parler. Le groupe originaire de Madagascar débarque là où on ne l’attendait pas, et donne de la voix avec son premier album « Out of the cage ». Et ils revendiquent le fait de n’attendre rien de personne, de vivre leur musique comme ça leur chante, mais racontent aussi cet instinct de survie qui les a propulsé dans cette ascension fulgurante. D’ailleurs, aux premiers sons de n’importe lequel de leur titre on a une définition sans détours de l’énergie qui décoiffe, de la rage, et de l’ambition. Préconisé pour les lundis matin, ou les réveils difficiles.

The Wanton Bishops, The Dizzy Brains, Tukatukas
VENDREDI 10 MARS À 20H

Frustration, Cortine Whiplash, Kilkil
SAMEDI 11 MARS À 20H

Vernissage de l’exposition : vendredi 10 mars à 19h
Ouverte jusqu’au 10 mai au Banyan

Les tarifs

Tarif sur place : 18€
Tarif en prévente : 15€
Tarif réduit [1] : 12€
Tarif adhérent [2] et groupe [3] : 10€

Les retrouver sur le net //

* Tarif grand public.

[1Le tarif réduit est consenti aux personnes suivantes, sur présentation d’un justificatif : jeunes de moins de 18 ans, lycéens, étudiants, séniors de plus de 60 ans, demandeurs d’emploi, bénéficaires de minima sociaux, personnes handicapées.

[2Le tarif « Adhérent » est consenti aux personnes titulaires d’une carte d’adhérent en cours de validité.

[3Le tarif « Groupe » est consenti aux scolaires, associations, comités d’entreprises et assimilés (tarif unitaire par personne sur la base d’un groupe de 10 personnes minimum).